Depuis 35 ans, le nombre de voix recueillies par la liste PS (Frêche puis Mandroux) aux municipales à Montpellier n’a que peu varié alors que dans le même temps la population de la ville a augmenté d’au moins 25 %. C’est ce que pointe François Baraize, un chercheur-consultant. Celui qui est aussi militant EELV et ancien du PS, s’est lancé dans un « bilan des 35 ans de frêchisme ». Il commence par le système politique et électoral.
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