Porté par Réseau ferré de France, le contournement Nîmes-Montpellier est un projet à 2 Mds € qui va impacter la vie des usagers du train. Pourtant les parties prenantes – dont le préfet Pierre de Bousquet de Florian – font dans l’opacité. Philippe Saurel, le président de l’agglo, semble avoir déjà baissé les bras alors que deux de ses vice-présidents, Isabelle Touzard et René Revol (PG) ainsi que le conseiller général (EELV), Christian Dupraz demandent un « débat démocratique » sur « l’opportunité et, si nécessaire, la localisation » de la deuxième gare de la capitale régionale. (2 470 mots)
Si vous connaissez mal le sujet, il n’est peut-être pas inutile de (re)lire : Nouvelle gare TGV de Montpellier : un cadeau aux promoteurs ?
Vous devez être abonné(e) pour lire la suite. Identifiez-vous ou Abonnez-vous pour lire cet article.
Il vous en coûtera seulement 6 € par mois !
Le seule ressource de Montpellier journal ? Les abonnements et les dons de ses lecteurs. Abonnez-vous pour soutenir l'indépendance du site.
►Lire aussi : Nouvelle gare TGV de Montpellier : un cadeau aux promoteurs ?