Ce sont les mots, mesurés, d’un ancien membre de l’équipe éducative de l’internat d’excellence de Montpellier. Contactés par Montpellier journal lui et cinq de ses collègues remettent en cause directement la gestion « à l’affect » du proviseur de l’internat. Le premier volet de cette longue enquête, qui en comptera deux, revient sur les dérives éducatives d‘un projet détourné de sa mission initiale. Recrutement d’élèves atteints de pathologies psychologiques lourdes et placés en position de toute puissance. Gabegie financière sans réelle finalité éducative. Instauration d’un rapport à la loi paradoxal et arbitraire. Défiance vis-à-vis du système institutionnel et des procédures légales. (4 480 mots)
Par Lucie Lecherbonnier
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