Des signalements « de mises en danger des élèves et des personnels » adressés à la direction de l’établissement de Montpellier, au rectorat, puis directement au ministre de l’Éducation nationale et à la Justice sont tous restés quasi lettres mortes. Au rectorat, on ne nie – ni ne confirme – l’existence de ces rapports mais on refuse toute remise en cause du fonctionnement de l’internat et de son proviseur en affirmant : « Il n’y a pas de no man’s land. » Premier volet de cette longue enquête : Internat d’excellence : « L’enfer pavé de bonnes intentions » ? (4 000 mots)
Par Lucie Lecherbonnier (avec Jacques-Olivier Teyssier)
Vous devez être abonné(e) pour lire la suite. Identifiez-vous ou Abonnez-vous pour lire cet article.
Il vous en coûtera seulement 6 € par mois !
Le seule ressource de Montpellier journal ? Les abonnements et les dons de ses lecteurs. Abonnez-vous pour soutenir l'indépendance du site.
► Lire aussi : Internat d’excellence : « L’enfer pavé de bonnes intentions » ? (1/2)