Alors que la ville et la métropole de Montpellier, dirigées par Philippe Saurel (divers droite), sont sur le point de renouveler des marchés et que Louis Nicollin fait la une des hebdomadaires, il n’est pas inutile de revenir sur une histoire de missions fictives confiées à un groupe « lié à des affaires de financement de partis politiques », comme l’ont rappelé les magistrats. Une histoire ancienne peu évoquée dans les médias qui a valu au dirigeant montpelliérain, en 2006, une condamnation de 18 mois de prison avec sursis pour « abus de biens sociaux ». (1 400 mots)
Par Jacques-Olivier Teyssier
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