Certes le maire (divers droite) de Montpellier respecte quelques points de la charte éthique Anticor – qu’il aime renommer « charte anti-corruption » – qu’il a signée avant les municipales de 2014. Certes l’association lui décerne un « feu orange » et non pas vert. Mais il n’en demeure pas moins que Philippe Saurel s’assoit sur certains points très faciles à mettre en œuvre et qui, 15 mois après son élection, ne le sont toujours pas. Quant à l’association qui organisait la semaine passée une soirée « la charte Anticor à l’épreuve de la réalité », elle préfère voir le verre au tiers plein alors que l’élu est très loin de pratiquer la « transparence » qu’il ne cesse de prôner. (2 570 mots)
Par Jacques-Olivier Teyssier
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