Le maire de Montpellier n’a pas brillé durant la campagne des régionales. Y compris lors de l’entre deux tours où il n’a rien fait pour fusionner et obtenir des élus qui auraient pu siéger au conseil régional et ainsi « défendre Montpellier ». C’est pourtant cet argument qu’il n’a cessé de mettre en avant pour justifier sa candidature. Plus grave pour l’élu, le FN monte à Montpellier et le score du PS est proche du sien. Il reste quatre petites années pour reconquérir les déçus. Car il y en a. (940 mots)
Par Jacques-Olivier Teyssier
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