Ces mots ont été lâchés par un inspecteur des services d’hygiène de la ville de Montpellier à une locataire de cette copropriété dégradée de la Paillade, gérée par la société CIGER. Et pourtant, jamais un procès-verbal n’a été dressé par la ville au propriétaire comme la loi le permet. Jamais non plus un signalement à la Caisse d’allocations familiales qui verse l’aide au logement. Une enquête menée en collaboration avec les associations Les ziconophages et Habiter enfin ! (3 340 mots)
par Lucie Lecherbonnier
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