C’est notamment à cette question que devait répondre la cour d’appel de Montpellier le 22 juin. En 2014, le conseil des prud’hommes avait répondu « oui ». Mais une fois de plus dans cette affaire qui remonte à 2012 et qui oppose Jean-François Floch – co-dirigeant d’Eramondi (ex Bioréalités) avec son épouse Dominique Joubert – définitivement condamné pour agressions sexuelles, à d’anciens salariés, la justice est remise à plus tard. (930 mots)
Par Jacques-Olivier Teyssier
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