Nombre de places très limité, commercialisées uniquement sur Internet, certains trajets à trois euros et non un, plages horaires sélectives et orientées, réduction du budget alloué, ambition de fréquentation revue très à la baisse. De la promesse initiale faite par Georges Frêche et Christian Bourquin, anciens présidents de la région Languedoc-Roussillon, il ne reste quasiment qu’un slogan. De campagne. Damien Alary, leur colistier puis successeur à la tête du conseil régional, a tenté de « vendre » la mesure lors de son lancement le 5 janvier. Sans convaincre. (2 300 mots)
par Lucie Lecherbonnier avec Jacques-Olivier Teyssier
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