Parce que Montpellier journal place l’information avant tout, le site attache la plus grande importance à la rectification d’éventuelles erreurs. Il considère également le débat comme essentiel et se veut transparent sur la publication des droits de réponses. Cette page est donc destinée aux personnes qui souhaitent faire corriger des erreurs ou faire valoir leur point de vue alors qu’elles auraient été mises en cause dans un article.
Pour envoyer un message à Montpellier journal, utiliser la page contact.
Des rectifications
Toute erreur signalée à Montpellier journal et avérée est immédiatement corrigée. Elle est signalée au bas de l’article. La correction peut également faire l’objet d’une diffusion sur les réseaux sociaux si Montpellier journal la considère comme significative.
Des commentaires
La possibilité de commenter au bas des articles est réservée aux abonnés. Mais si une personne non abonnée est mise en cause dans un article ou un commentaire elle peut y répondre en envoyant un message à Montpellier journal via la page contact. La réponse sera publiée par Montpellier journal sous forme d’un commentaire avec un compte « invité » et le nom de l’auteur de la réponse sera mentionné à la fin du commentaire.
Du droit de réponse
Si la rectification et/ou le commentaire ne suffisent pas, une personne mise en cause peut adresser à Montpellier journal un droit de réponse. Le droit de réponse est encadré par la loi mais Montpellier journal tâche de ne pas être trop formaliste. À condition, bien sûr, qu’il n’y ait pas d’abus.
Conformément à la loi, Montpellier journal répond dans les trois jours pour informer le demandeur de la suite donnée à sa demande : publication ou refus. Si refus, les raisons du refus.
Avant de poursuivre, précisons deux concepts importants : Montpellier journal est un site sur abonnement. La plupart de ses articles sont donc divisés en deux parties : la partie publique, accessible à tous et la partie privée, réservée aux seuls abonnés. Rendre public un article signifie que la partie privée de l’article devient publique.
Pour le droit de réponse, deux grands cas se présentent :
- L’article visé par le droit de réponse est entièrement public. Dans ce cas, le droit de réponse sera également entièrement public.
- L’article visé est réservé aux abonnés. Dans ce cas, le droit de réponse doit être séparé en deux : une partie publique et une partie privée. La partie publique doit être de taille équivalente à celle de la partie publique de l’article. Si ce n’est pas le cas, le droit de réponse sera coupé automatiquement par Montpellier journal.
Rappelons que Montpellier journal décide régulièrement de rendre public l’intégralité des articles précédemment réservés à ses abonnés. Si l’article visé est rendu public alors le droit de réponse l’est en même temps.
Le droit de réponse fait l’objet d’une publication dans un article (ou « post ») séparé avec comme titre « Un droit de réponse de X ». Le début du post est rédigé par Montpellier journal qui rappelle la qualité ou fonction du signataire, la date d’envoi du droit de réponse, l’article visé (avec un lien) et la date de publication. La publication du droit de réponse est également signalée au bas de l’article visé sous la forme : « Le DATE nous avons reçu un droit de réponse de X. Il a été publié DATE. Cliquer ici pour lire ce texte. »
La taille maximum du droit de réponse sera celle de l’article visé (tout compris). Même si la loi ne nous y oblige pas, la mise en page du droit de réponse sur Montpellier journal tâchera d’être la plus proche de celle fournie par le demandeur à condition qu’elle soit globalement cohérente avec les pratiques de Montpellier journal. Montpellier journal se refuse à maltraiter les droits de réponse sous prétexte qu’ils nous déplairaient. Les liens hypertextes sont acceptés. Les fautes d’orthographe et coquilles ne sont pas corrigées.
Même si la loi ne nous y oblige pas, la parution du droit de réponse fait systématiquement l’objet d’une publication sur les comptes Facebook et Twitter de Montpellier journal.
Montpellier journal peut répondre au droit de réponse au bas de celui-ci ou dans un article séparé. Les commentaires des abonnés sont possibles en dessous du droit de réponse.
D’une plainte en justice éventuelle
La loi prévoit également la possibilité pour une personne mise en cause de poursuivre pour diffamation et/ou injure. Compte tenu de la modestie des moyens financiers de Montpellier journal (à peine 20 000 € de revenus en 2014, deux journalistes payés 650 € / mois), nous encourageons vivement les personnes mises en cause à d’abord dialoguer avec nous et/ou à utiliser les moyens décrits ci-dessus plutôt qu’avoir recours à l’arme judiciaire.
Si l’arme judiciaire devait être quand même utilisée, compte tenu de la faible audience de Montpellier journal, nous encourageons vivement les personnes concernées à demander des réparations proportionnées aux moyens de Montpellier journal. Sauf si, bien sûr, ces personnes souhaitent la mort du site.
Tout ceci ne sont que des recommandations et Montpellier journal s’efforce bien entendu en permanence de respecter la loi.
Quelques textes de loi :
- Loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse
- Décret n° 2007-1527 du 24 octobre 2007 relatif au droit de réponse applicable aux services de communication au public en ligne
- Loi n°2004-575 du 21 juin 2014 pour la confiance dans l’économie numérique
Versions de ce texte :
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Version du 13 mars 2015 : première publication