Évidemment, ce titre peut surprendre. Surtout si on évoque la couverture nationale du congrès de Reims. Un peu moins si on regarde de près le sort réservé à la bataille pour le poste de premier fédéral dans l’Hérault. Car les médias locaux semblent avoir été bien moins intéressés par la lutte pour le contrôle du pouvoir socialiste
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