Le courrier fait suite aux « tracasseries » que j’ai subies de la part de l’agglomération de Montpellier et au débat qu’elles ont suscité au sein du Club.
[Précision du 3 février à 12h45 : Un des auteurs a fait parvenir à Montpellier journal le texte et la liste des signataires. Les voici :]
« Aux administrateurs du Club de la Presse
1) Sur le site Montpellier Journal on lit des informations, des interviews, des commentaires, des critiques. C’est donc un média. L’annuaire 2009 du Club de la presse le répertorie comme tel (rubrique e-médias).
2) Jacques-Olivier Teyssier consacre son activité à l’information locale. Il agace, irrite, dérange, peu importe : c’est un journaliste. Il n’a pas de carte ? Nombre de journalistes répertoriés dans l’annuaire du club ne l’ont pas non plus. La carte ne fait pas nécessairement le journaliste.
3) Comme chacun de nous, Jacques-Olivier Teyssier doit pouvoir travailler librement, sans interdit bureaucratique.
Nous pensons que s’il refusait ces évidences, le Club de la Presse se déshonorerait. »
Signataires :
Benoit Califano, directeur de l’Ecole supérieure de journalisme ; Pierre Daum (Le Monde Diplomatique) ; Jean Kouchner, délégué régional de Reporters sans frontières ; Rémy Loury, président-fondateur du Club de la Presse ; Jacques Molénat (L’Express, Marianne) ; Gwenaelle Moulins (La Croix) ; Carole Rap (Libération) ; Alain Rollat, ancien directeur adjoint du Monde, fondateur et éditorialiste de La Gazette de Sète ; Henri-Marc Rossignol, rédacteur en chef de La Gazette de Montpellier ; et, “sous réserve de la notion de média appliquée à Montpellier Journal”, Pierre Serre, PDG de Saga (Société anonyme des Gazettes associés).
_____________
Aurel (Le Monde, Marianne, Politis) a fait parvenir à Montpellier journal la précision suivante : « Je m’associe totalement à ce texte, en tous points. Mais étant moi-même membre du bureau du Club de la presse, je n’ai pas souhaité, pour des raisons de cohérence, signer un texte adressé aux administrateurs de l’association et émanant de l’extérieur de celle-ci. Néanmoins, je défends ces mêmes idées depuis le début au sein du Club de la presse. »
Montpellier journal remercie chaleureusement ces journalistes pour leur démarche. Si d’autres personnes souhaitent signer ce courrier, elles peuvent le faire en écrivant au Club de la presse et/ou en déposant un commentaire ci-dessous.
► Voir aussi :
- Georges Frêche s’en prend à Montpellier journal
- Laissez-moi faire mon travail !
- Interdit de conférence de presse
- Qui en veut à Montpellier journal ?
► Vous pouvez soutenir Montpellier journal.
..." 
36 commentaire(s)
Suivre les commentaires de cet article
à 22 h 27 min
Je soutiens JoT dans sa démarche qui consiste à demander à être considéré comme les autres journalistes.
Ou alors on pourrait demander à la mairie de Montpellier puisque le média en question s’appelle Montpellier Journal.
Par contre, vu de l’extérieur, je me demande bien en quoi le Club de la Presse, qui m’a tout l’air d’être une institution bureaucratique et opaque est légitime pour décider de qui est journaliste et qui ne l’est pas.
Le bureau de ce Club de la Presse est d’ailleurs composé pour moitié (7/14) de non-journalistes (http://www.clubpresse.org/allclub.htm).
Je n’ai jamais rien compris aux notions d’honneur mais par contre la légitimité d’un bureau élu d’une institution corporatiste me parait douteuse. Pourquoi l’agglo ne demande t-elle pas à un syndicat de journalistes si Jot rentre dans son champ de syndicalisation ? Ca serait tout autant absurde
Je note par ailleurs la présence de Francis Attard, chargé de com de l’agglo au CA du Club de la Presse.
M. Froment Aurélien (Aurel), le refus de vote me semble approprié dans votre cas, je le répète, voter dans ce genre d’instance ne fait que lui donner une légitimité qu’elle n’a pas.
à 22 h 36 min
Je ne suis pas sûr que la liste des membres du bureau et du conseil d’administration du Club de la presse, publiée sur son site, soit à jour. Je suis même à peu près sûr du contraire. Il me semble, par exemple, que Francis Attard a été remplacé.
à 23 h 05 min
On peut critiquer le Club de la Presse a priori, mais le mettre au pied du mur par un tel courrier ne peut qu’être bénéfique:
- le Club de la Presse peut difficilement éviter d’y répondre,
- l’Agglo peut plus difficilement ignorer sa prise de position que celle des journalistes signataires.
A suivre… sur Acrimed?
à 23 h 35 min
oui oui je ne remettais pas en cause le courrier envoyé
désolé pour mon erreur si le site du Club n’est pas à jour, cela n’enlève en rien ce que j’ai dit excepté pour le membre de l’Agglo
ouf, j’ai bien fait de mettre que j’étais enseignant car je n’ai pas vérifié mes sources
à 23 h 50 min
je signe
à 11 h 12 min
J’apporte mon soutien franc, massif et sans réserve à Jacques-Olivier Teyssier. Il emploie des méthodes de journaliste pour collecter, recouper et publier des informations. Il accepte et applique les règles du métier : citations, protection des sources, droits de réponse, etc. Il est par conséquent journaliste et doit pouvoir, à ce titre, pratiquer sa profession sans entrave.
____________________________
Clément Boulle
Journaliste et Rédacteur en chef du site internet
La Gazette de Montpellier
13, place de la Comédie
CS 39530
34 960 Montpellier cedex 2
http://www.lagazettedemontpellier.fr
+33 (0)6 70 09 29 78
+33 (0)4 67 06 77 77
à 13 h 08 min
Je soutiens JoT et je signe
à 14 h 28 min
En tant que membre du Club de la Presse, je m’associe totalement au courrier de mes confrères et apporte mon soutien à Jacques-Olivier Teyssier.
Jean Lelong,
directeur de l’agence de presse JAM
à 19 h 48 min
Tout le monde peut vérifier le travail de Jacques-Olivier Teyssier. L’empêcher de faire son métier de journaliste, ne pas lui reconnaitre cette fonction, correspondent ni plus ni moins à une atteinte à la liberté de la presse. En tant que journaliste, je propose que nous refusions collectivement d’assister à toute conférence de presse dont il serait exclu. Idem pour les journalistes de l’Agglorieuse que certaines intitutions essaient d’interdire de travailler.
à 20 h 42 min
MIDI LIBRE GRAND ABSENT
PEU DE JOURNALISTES DE MIDI LIBRE APpORTENT LEURS SOUTIENS A j JOT
ALLEZ LES PALAT ET MARTIN FAITES UN EFFORT !
DE TOUTE MANIERE G FRECHE NE VOUS MANQUERA PAS IL NE VOUS A JAMAIS MANQUé
n ayez pas peur c’est un règne finissant
à 20 h 50 min
« Peu » ? Pour l’instant c’est plutôt aucun. A suivre…
à 22 h 25 min
@ Benoit G.
Sans le club de la presse on ne sait pas trop où on en serait actuellement ni où en serait JOT. Là, au moins il a une chance de pouvoir peut-être faire son boulot. La lettre de soutien reproduite ci-dessus, a fait suite à la consultation organisée au sein du Club de la presse.
Quant à demander l’avis d’un syndicat… lequel? Et pourquoi ce syndicat là serait plus à même de répondre qu’un autre… Le club est au moins un lieu assez neutre de ce point de vue là. Sur la part des communicants au sein du club, c’est vrai qu’ils sont nombreux en nombre d’adhérents, mais minoritaires (1/3) au sein du C.A. (consulté sur l’affaire JOT) et au bureau (7/15).
Quant à ne pas voter, pour quoi faire? Pour laisser faire ceux qui s’opposent à ce que JOT puisse exercer son métier de journaliste?
à 22 h 27 min
@benoit, suite.
J’avais mal lu sur les syndicats. On oublie.
Le reste, je change rien.
à 10 h 09 min
En tant que confrère, j’apporte tout mon soutien à Jacques-Olivier Teyssier, qui doit pouvoir excercer son métier de journaliste sans entraves bureaucratiques.
Cécile Brignone, journaliste à Virgin radio Montpellier
à 14 h 08 min
Moi, je signerai des deux mains en faveur d’un confrère, quand on m’aura prouvé que c’est un confrère et qu’il s’applique à lui-même les règles et leçons de transparence et de déontologie qu’il entend donner aux autres :
- Pourquoi Montpellierjournal ne cherche pas à avoir le statut d’entreprise de presse, ce qui simplifierait tout ?
- Un journaliste salarié ou indépendant, vit de son métier, est-ce le cas pour M. Teyssier ? Si non, que fais-t-il à côté ?
- A l’instar de Jean-Claude Bourret avec la Cinq, M Teyssier demande de l’argent de soutien, à lui verser en son nom propre… Pourquoi un tel procédé pas très transparent ?
- Toujours dans ce même souci de transparence, pourquoi mes commentaires postés sur ce site à propos d’un article de Montpellierplus semblent avoir disparu ?
Après d’un point de vue pratique, que M.Teyssier soit empêché d’assister à une conférence de presse d’une institution est-ce tant que ça une intolérable atteinte aux droits fondamentaux des héritiers de Renaudot ? Son travail essentiel, c’est surtout semble-t-il de faire la critique des medias en reprenant ce que les autres ont écrit; or les sites des medias régionaux sont d’accès libre et les dossiers de presse sont à disposition de tous sur les sites de l’Agglo ou de la Ville non ?
Didier Thomas-Radux
Journaliste social-traitre, salarié du grand méchant loup Midi Libre (désolé…), blacklisté de certains évènements organisés par certaines collectivités locales et qui vit très bien sans.
à 16 h 16 min
« Le journaliste professionnel est celui qui a pour occupation principale, régulière et rétribuée l’exercice de sa profession dans une ou plusieurs publications quotidienne ou périodiques ou dans une ou plusieurs agences de presse et qui en tire le principal de ses ressources ».
MontpellierJournal est un blog comme il en existe des milliers et il n’appartient pas à une entreprise de presse reconnue par la profession. il est nécessaire d’être inscrit à la Commission paritaire des publications et agence de presse pour etre un organe de presse.
En tant que membre du conseil d’administration du Club de la Presse et ayant reçu un courrier de sa présidente Anne Devailly qui a posé trois questions rédigées par courrier, je n’apporte pas de soutien à Monsieur Teyssier étant donné qu’il n’est pas considéré comme journaliste et qu’il ne percoit pas ses revenus d’une entreprise de presse.
Journaliste, agence de presse sont des termes, des fonctions strictement encadrés par des textes de lois. Ecrire « Médias », « journaliste citoyen » et « le critère de la carte de presse est un critère réducteur » (à lire dans un courrier d’Anne Devailly envoyé aux membres du CA), décridiblise le club de la presse (composé majoritairement de communiquants !). Et ce n’est pas parce que MontpellierJournal figure dans l’annuaire du club de la presse de Montpellier, simple association, qu »il est forcément reconnu comme publication de presse.
Nicolas Guyonnet, journaliste pour le quotidien Montpellierplus et membre du conseil d’administration du club de la Presse de Montpellier.
à 16 h 31 min
J’apporte tout mon soutien à Jacques-Olivier Teyssier. Outre le courrier de soutien cité plus haut adressé au Club de la presse, ne pourrions-nous pas prévoir un autre type d’action, nous réunir pour en discuter… par exemple au Club de la Presse qui probablement nous cèdera la salle une soirée gratuitement bien sûr.
Soyons efficaces !
à 17 h 38 min
@DTR (Didier Thomas-Radux) et @Nicolas Guyonnet
Je ne vais pas perdre mon temps à vous répondre même si je suis loin d’être d’accord avec vos « arguments » (y compris sur la prétendue suppression de commentaires ; qu’est-ce qu’il ne faut pas inventer…).
Je crois les lecteurs de Montpellier journal assez lucides pour juger de leur valeur et de celle de leurs auteurs. Sans compter qu’ils sont de moins en moins nombreux.
Et je répète ce que j’ai déjà écrit : je dois vous déranger – vous et votre employeur – pour que vous dépensiez autant d’énergie à tenter de m’empêcher de travailler. En ce qui me concerne, je trouve qu’il n’y a pas assez de personnes – journalistes ou citoyens – pour produire de l’information dans cette région. Vive le pluralisme !
à 22 h 50 min
Je ne suis pas journaliste mais je fais partie des lecteurs de Montpellier Journal qui ont décidé de le soutenir financièrement, même modestement. Je considère en effet que nous sommes abreuvés de plus en plus par de la com institutionnelle (ville, agglo, CG, région) relayée par les médias locaux avec très peu de recul. JOT fait un vrai travail d’investigation et ne se contente pas de faire des articles de 20 lignes ou les gros titres avec les petites phrases d’un tel ou d’un tel. La qualité de l’info est là, peu m’importe ensuite qu’il ait une carte de presse ou pas. Ses détracteurs feraient bien d’en tirer des enseignements pour améliorer leurs propres pratiques journalistiques.
à 6 h 02 min
RAS LE BOL DU CLUB DE LA PRESSE
Lorsque Ingrid Bettancourt était détenu par le FARC le club de la presse avait organisé une manifestation de soutien en sa faveur place de la Comédie.
L es esponsables ont donné la parole uniquement aux élus de gauche.
J’en ai fait la remarque !
L a réponse fut : « c’est exact nous ne ferons pas la même erreur la prochaine fois ! »
La fois suivante meme mise en scène avec valorisation sur l’estrade uniquement des socialistes
A part ça le Club de la presse ne roule pas pour la gauche ……..MAIS UNIQUEMENT POUR LES SOCIALISTES
C ‘est ce pluralisme tendancieux et partisans que veulent défendre certains journalistes au détriment de la liberté
Tout le reste n’est que faribole
si le journaliste de MONTPELLIER PLUS EST BLACK LISTé IL FAUT SAVOIR QUE LUI AUSSI DETIENT UNE BLACK LISTE DE CELLES ET CEUX QUI DERANGENT SES AMIS GAUCHISTES AU POUVOIR
bravo J.O.T . et bon courage
à 9 h 34 min
J’ai entendu et vu à la TV un reportage sur la tempete fait par Sud Ouest et la journaliste etre obligée de rappeler quelle n’était pas là pour relayer la voix des Municipalités.M. DTR de Midi Libre que dites vous de ça et faites vous pareil? ce que nous voulons,ce n’est pas ce qu’il y a dans les dossiers de presse,mais ce qui n’y est pas.INVESTIGATION
à 18 h 40 min
Avec sa finesse légendaire, la direction de l’agglomération est en train de se retrouver dans la situation de l’arroseur arrosé. Tenez bon!
à 23 h 46 min
Quand Montpellier Journal, devenu une vraie « entreprise de presse », gagnera assez pour payer son premier journaliste, on en reparlera. Il faudra trouver d’autres motifs pour l’exclure des conférence de presse de l’agglo et de la ville…
Je souhaite que sa tentative de journalisme – appel au don plutôt qu’accès payant – réussisse et fasse des émules.
La presse est en crise, d’accord. Certains se cramponnent à leur modèle à l’agonie, d’autres cherchent autre chose à bonne distance des pouvoirs locaux. N’est-ce pas justement cela, la presse indépendante? Ou les conférences de presse doivent-elles être un lieu réservé aux amis du prince?
Ce système est au bord de l’implosion…
à 0 h 14 min
Bien qu’étant géographiquement loin de Montpellier, je continue et continuerai de soutenir Jacques-Olivier Teyssier.
Pour reprendre les termes de DTR, bien sûr que si JOT est « empêché d’assister à une conférence de presse d’une institution », ça n’est pas « une intolérable atteinte aux droits fondamentaux des héritiers de Renaudot ». Mais ça n’est pas non plus normal.
Quand à Nicolas Guyonnet, pour qui MontpellierJournal est une « simple association », son titre de « membre du conseil d’administration du club de la Presse » et sa carte de presse ne lui donnent pas plus de légitimité journalistique que JOT.
Sébastien Nègre, titulaire de la carte de presse, en partie grâce à Divergence FM, pourtant « simple association »
à 19 h 37 min
Nicoas Guyonnet, banal photographe, devenu par la grâce des manques de moyens de MTP +, devenu journaliste -rédacteur donne de grandes leçons de morale…
« le club de la presse (composé majoritairement de communiquants !) » mais pourquoi ne quitte -t’il pas son CA?
“Le journaliste professionnel est celui qui a pour occupation principale, régulière et rétribuée l’exercice de sa profession dans une ou plusieurs publications quotidienne ou périodiques ou dans une ou plusieurs agences de presse et qui en tire le principal de ses ressources”, c’est seulement l’argument principal pour béneficier des abattements fiscaux dédiés aux journalistes.
Ce pseudo journaliste devrait être un peu plus indépendant et moins proche des pouvoirs locaux dont il est un porte voix fidèle mais bien dénué de talent et de sens critique…..
à 19 h 14 min
mais laissez JOT travailler consciencieusement comme il l’a toujours fait dans le domaine du journalisme!!!!!!!
à 23 h 06 min
Mieux vaut tard que jamais : Jacques-Olivier, je t’apporte mon soutien et je signe ce courrier. Si le club de la presse d’ici peut effectivement servir à quelquechose c’est exactement à ça, je pense.
à 16 h 40 min
soutien a donf !!!!
membre du club comme com
à 21 h 01 min
J’apporte mon soutien à Jacques-Olivier Teissier et je signe ce courrier. Naturellement et sans commentaires
à 14 h 15 min
Tout mon soutien, tardif et non moins vigoureux, à JOT.
Jusqu’à preuve du contraire, les conférences de presse de l’Agglo ne sont pas réservées aux titulaires de la carte de presse. C’est à l’évidence un argument fallacieux pour écarter une plume jugée trop critique.
Une plume nécessairement critique et d’une rare clairvoyance dans le paysage médiatique, à mon avis.
VP
Ancien collaborateur de L’Accorche
SR à Psychologies magazine, Jeune Afrique et Science & Vie.
à 14 h 17 min
Hum. Il fallait lire « L’AccRoche », où je n’étais que… correcteur!
à 0 h 16 min
il est bien tard c’est vrai, mais je t’apporte tout mon soutient.
à 10 h 31 min
Bien cet interview par les étudiants journalistes de Marseille 89
à 19 h 47 min
Tout mon soutien à Jacques-Olivier Teyssier qui a déjà largement démontré avec l’Accroche et aujourd’hui sur le net qu’il fait son boulot de journaliste, dans une presse qui manque cruellement de pluralisme. Evidemment je signe aussi.
à 14 h 00 min
Bravo à JOT pour le boulot qu’il fait.
à 23 h 45 min
Certains croient que les choses sont simples.
Ils ont tort.
Les choses sont ecore plus simples :
Les grands médias mentent, les petits suivent.
Les médias mentent.
Les médias mentent librement.
Les médias mentent librement, par définition.
Quand ils ne mentent pas, ils bavent.
Extrait de « Feu, feu, feu » poème sardon publié dans le numéro 0 du journal PLPL (pour lire pas lu).
Ce poème est aussi une manière de faire un salut amical et fraternel à Jacques-Olivier, et de lui apporter tout mon soutien d’acrimédien.
On les aura !