Cas d’école que le traitement médiatique des propos de Georges Frêche diffusé sur le site de Perpignan-Toutvabien : grave retard à l’allumage des journaux du groupe Midi Libre, source non citée pour La Gazette de Montpellier et L’Indépendant. Il n’est pas inutile de revenir sur tout cela alors que les élections régionales approchent et que les médias en sont un des acteurs essentiels.
Ce n’est pas moins de sept éditions que Midi Libre aura laissé passer pour faire finalement état, le 27 février, des propos de Georges Frêche sur « les cons » (1). Et encore avec un petit article bien caché en page de gauche (voir ci-contre) sobrement titré : « Quand Georges Frêche parle des cons… » L’Indépendant (groupe Midi Libre) attendra, lui, le lendemain (article et édito). Quant à Montpellier plus (groupe Midi Libre), pourtant friand des bons mots de Georges Frêche, il n’en a pas parlé du tout.
Heureusement, pour les citoyens que ces déclarations auraient intéressés et qui ne disposeraient pas d’un accès Internet, d’autres médias ont fait le travail : Montpellier journal, bien sûr dès le 19 au soir. Rue89 le 23, L’Agglorieuse le 25, La Semaine du Roussillon et La Gazette de Montpellier le 26, Marianne le 28. La télé s’y est même intéressée mais après Midi Libre : LCI le 27, le Zapping de Canal+ et Revu&corrigé (vers la 49e minute) sur France 5 le 28. Preuve que l’information avait un intérêt. D’ailleurs, l’article de Midi Libre se maintenait encore, ce matin à la 5e place des « articles les plus lus de la semaine » sur le site du quotidien avec 38 commentaires, un chiffre important pour midilibre.com. Il faut aussi rappeler que cette affaire a été abordée en conseil régional le 23 février mais toujours rien dans le quotidien, le lendemain. Vincent Coste, le journaliste qui a couvert cette session ne manquera d’ailleurs pas d’y faire référence mais seulement le 27 puisque c’est lui qui a signé l’article publié ce jour-là.
« Fallacieux prétexte »
Pourquoi ce retard à l’allumage ? Nous le saurons pas pour Midi Libre et Montpellier plus : Philippe Palat, directeur de la rédaction du quotidien régional et en charge de la coordination éditoriale du journal gratuit, n’a pas donné suite à notre demande d’entretien. Idem pour Jean-Michel Servant, rédacteur en chef de Montpellier plus. À l’Indépendant on semble plus ouvert, du moins pour répondre aux questions. Estelle Devic, journaliste chargée de la page région nous explique le délai de publication : « J’attendais de me procurer l’enregistrement, j’attendais même de rencontrer la personne qui avait fait l’enregistrement mais malheureusement je n’ai pas réussi à la voir. » Pour Fabrice Thomas de Perpignan-Toutvabien, c’est un « fallacieux prétexte » invoqué par L’Indépendant qui n’aurait fait que suivre Midi Libre qui lui-même n’aurait fait que suivre La Gazette de Montpellier. Version difficilement prouvable mais on peut noter que les dates de publication ne la contredisent pas. Fabrice Thomas ne croit pas, non plus, à la récupération par L’Indépendant de l’enregistrement original sinon en le téléchargeant via le site Perpignan-Toutvabien.
À France Bleu Hérault, on reconnait qu’il y a eu débat. Pascale Viktory, rédactrice en chef adjointe, nous explique pourquoi la station n’a évoqué les propos de Georges Frêche que le 2 mars, le jour ou le président de région était invité par la radio : « D’abord parce que ce n’est pas nouveau. Hormis que c’est sorti comme ça sur un site, ça a plus d’un an. En parler dans les journaux en tant que tel… C’est un peu compliqué. On s’est posé plein de questions : « Est-ce que c’est dit en public ou pas ? » Oui puisque c’est dans une enceinte devant des étudiants mais ce n’est pas censé être enregistré et ce n’est pas devant des médias, non plus. Après, moi ce genre de propos, il y en a une partie que je lui ai déjà entendu dire. Donc ça n’avait pas quelque chose de nouveau en tant que tel. Donc nous, on trouvait que l’édito (2) fait vraiment partie de la bonne case et de la bonne façon d’en parler. »
« Je ne te répondrai pas »
Reste le cas particulier de La Gazette de Montpellier. Mais là, c’est l’inverse : l’hebdomadaire a tartiné en recopiant au moins les deux tiers de la retranscription de Perpignan-Toutvabien. Sans demander l’autorisation à Fabrice Thomas et sans citer la source ! Le rédacteur anonyme des « Rumeurs et chuchotements » se contentant d’écrire : « Frêche, qu’on peut écouter sur le Net. » Interrogé sur cet oubli, Pierre Serre, patron de La Gazette, après un blanc de quelques secondes, déclare à Montpellier journal : « Euh… Je ne te répondrai pas, je te souhaite une bonne journée. » Même oubli à L »Indépendant qui évoque simplement « un site perpignanais ». Mais au moins, Estelle Devic s’explique :
- Moi je l’avais cité dans mon papier et on m’a demandé de le couper. Je vais vous dire pourquoi : parce que c’est un site qui, régulièrement, crache sur L’Indep. Ça a été coupé parce qu’on a estimé – et j’étais d’accord avec, au final – qu’on n’avait pas à faire de pub pour Perpignan-Toutvabien qui, dès qu’il le peut crache sur L’Indépendant à tire larigot. »
- Là c’est pas forcément une question de pub, c’est une question de pratique journalistique c’est à dire qu’on doit citer sa source, non ?
- Non, pas toujours.
- Pas toujours ?
- Il y a des sources qu’on protège…
- Oui bien sûr mais là c’est un journal qui révèle quelque chose, en général ce qui se fait…
- C’est pas un journal, c’est un blog
- Un média on va dire…
- Ce qui n’est pas pareil.
- En tout cas, c’est eux qui ont sorti l’affaire..
- Oui, je suis d’accord avec vous, c’est eux qui l’ont sorti et je l’ai repris une fois que j’ai eu l’original, ce que j’ai mis dans mon papier.
Rappelons que la charte des devoirs professionnels des journalistes français précise : « Un journaliste, digne de ce nom [...] ne commet aucun plagiat, cite les confrères dont il reproduit un texte quelconque. » Heureusement, tous les médias n’ont pas les mêmes pratiques que La Gazette de Montpellier et L’indépendant : Rue89, Marianne, France 5, La Semaine du Roussillon, L’Agglorieuse et même Midi Libre ont cité Perpignan-Toutvabien.
Évidemment, il faut bien envisager d’éventuelles pressions politiques ou une simple autocensure qui aurait empêché les titres du groupe Midi Libre de sortir l’information dès qu’elle est apparue. Difficilement prouvable à nouveau. Nous nous contenterons donc de donner le résultat d’un petit recensement des publicités parues dans Midi Libre et dans Montpellier plus depuis le 14 février qui montre que la sortie de cet enregistrement est peut-être vraiment mal tombé (voir ci-dessous). Enfin, il n’est pas inutile de citer François Léotard, ancien maire UDF de Fréjus : » Permettez moi de dire que, dans certains journaux locaux, les annonceurs que sont les maires, les présidents de conseils généraux, et je dis ça au syndicat national de la presse quotidienne régionale, ces journalistes-là sont esclaves de l’argent qui finance ces campagnes de publicité des maires et des conseillers généraux. (3)« Ecouter le son :
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(1) Soulignons que les propos du président de région visaient aussi les agriculteurs et qu’ils relevaient plus de la vision politique en l’occurrence d’un point de vue productiviste de l’agriculture. Alors que ceux sur « les cons » n’éclairaient que sur une pratique cynique de la politique. Les médias n’ont pas relevé ces propos sur les agriculteurs. Il n’est donc pas inutile de les rappeler ici : « [...] On ruine les paysans africains en vendant nos produits subventionnés par l’Europe, mais c’est pas les agriculteurs qu’il faut subventionner, Blair a raison c’est les chercheurs. On s’en fout des agriculteurs, on s’en fout. D’ailleurs aujourd’hui avec 5 % d’agriculteurs en France, on produit autant qu’avec 40 % en 1945 et avec 2 % on produira aussi bien qu’avec les 5 % actuels, donc on peut encore en perdre les trois cinquièmes. »
(2) Hormis les questions posées au président de région sur le sujet, l’édito en a fait état.
(3) « Le Premier pouvoir », France culture, 4 décembre 2004
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Liste des publicités du 14 février au 5 mars, non comprises celles pour les matchs des équipes de l’agglo :
Midi Libre (entre parenthèse l’origine de l’annonce)
5/03 : 1/2 page (région), 1/6 page (région) – 3/03 : 1/6 page (région) – 1/03 : 1/2 page (région) – 2/03 : opération TER – 28/02 : 1/2 page (agglo) – 27/02 : 1 page (région) – 26/02 : 1/4 page (salon habitat) – 25/02 : 1/3 page (région) – 22/02 : 1/2 page (agglo) – 20/02 : 1/2 page (agglo) – 18/02 : 1/2 page (agglo) – 17/02 : 1/2 page (région) – 16/02 : 1/2 page (agglo) – 15/02 : 1/2 page (région) – 14/02 : 1/2 page (agglo)
Montpellier plus
5/03 : 1/2 page (région) – 4/03 : 1/2 page (région) – 3/03 : 1/2 page (région) – 27/02 : 1/2 page (agglo) – 24/02 : 1 page (salon habitat) – 23/02 : 1 page (agglo)
17 commentaire(s)
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à 13 h 10 min
Alors plusieurs éléments de réponse pour soutenir mes confères journalistes sur le traitement de cette info : ça date de plus d’an. ce n’était pas en public. Concernant la citation de la source, la source premiere c’est l’étudiant qui a enregistré le son. Le site perpignanais n’a fait QUE le relayé. Donc pas à révéler la source. C’est étonnant que vous citiez la charte des devoirs professionnels des journalistes français alors que vous ne respectez pas vous meme la déontologie du métier, vous prétendant journaliste et média alors que vous ne l’êtes pas. Et puis ce n’est pas un confrere que l’on peut citer puisque perpignan touvabien n’est pas un média. Et les propos ne sont que ceux de freche enregistrés par un étudiant. Aucun journaliste n’intervient.
Cordialement
à 14 h 05 min
Bonjour,
Je ne comprends pas qu’à deux reprises vous vous permettiez de lancer une hypothèse sans l’ombre d’une preuve ou d’un témoignage tout en admettant qu’elle est « difficilement prouvable ». Cela me semble être du journalisme de déduction et non d’enquête. Vous nous avez habitués à mieux. Mais rassurez-vous, je continuerai à vous lire.
Cordialement.
à 14 h 09 min
Excusez moi de cette intervention mais pendant que vous vous occupez des autres journaux, il doit bien se passer des choses à Montpellier (blocage de l’UM3…).
Donc si MontpellierJournal ne s’occupe que de la cuisine interne des autres médias locaux comme ces derniers temps (TER, Frêche…), je ne vois plus où est le titre de blog d’information.
Donc pendant ce temps on lit Midi Libre. Car n’oublions pas que pour une page sur les TER, le reste était de l’information.
à 14 h 16 min
Ouh là là, le Jacques prétendu confrère journaliste qui écris un Français bancal à l’orthographe approximatif …L’étudiant est le témoin, la source journalistique est bien Perpignan TVB donc, à citer lors de la reprise de l’info !
C’est la qualité et l’intérêt de ce qu’il écrit qui fait le journaliste ! Pas d’accord Jacques faux frère ?
à 14 h 28 min
Continuez à nous parler de la cuisine médiatique. Continuez à cultiver notre esprit critique. Dans une démocratie digne de ce nom, la presse devrait être indépendante du pouvoir et pour cela ne pas dépendre financièrement de lui. Ce n’est pas le cas. C’est bien de le dire, c’est encore mieux de le démonter comme vous le faite avec un vrai travail d’information.
à 22 h 11 min
Ce travail sur la presse locale détermine tout le reste: la qualité de l’information que l’on trouve autour (!) des publicités institutionnelles.
JOT met au grand jour la manipulation médiatique (financée par le contribuable !) entretenue depuis longtemps par le clan du pouvoir local et régional.
L’escroquerie ( que l’on espère bien rémunérée pour l’auteur du publi-rédactionnel ) de la pub électorale pour Frêche à la Une de Midi Libre aurait dû entraîner une réaction immédiate des propriétaires du journal (Sud Ouest). Il faudrait que quelqu’un rappelle à la direction générale et la rédaction en chef qu’ils ne sont pas à la tête d’un supermarché ni d’une transnationale sans foi ni loi ni d’une BFI, mais d’un journal, avec un minimum d’éthique et de respect pour les lecteurs. Où tous les « coups » ne sont pas permis.
Ce Midi Libre du 2 mars 2009 est à montrer dans toutes les vraies écoles de journalisme. C’est l’exemple de la tromperie qui fera fuir encore plus vite les lecteurs pris pour des cons.
Depuis quelques temps, ce ne doit plus être facile d’être un journaliste qui se respecte à Midi Libre.
à 22 h 17 min
Dans tout les cas, malgré ce que Frêche ait pu dire à ses étudiants (et il n’a dit que du vrai !! et c’est ce que pensent également la majorité des politiciens mais ne le disent pas..) et bien, vu le travail qu’il a fait pour montpellier et son agglomération, et même s’il n’a pas été tout seul pour faire tout ca.. et bien, sans lui, montpellier serait différent, c’est clair !
Alors, vos histoires à deux francs six sous sur cette histoire interne dont en fait tout le monde ou presque s’en tape, ne devrait pas faire autant de bruit et encore moins dans un web journal censé être objectif tel que le vôtre..
Mais à priori, tant que vous pouvez casser de la ville, de l’agglo ou du Frêche, vous y aller de bon coeur…
à 22 h 29 min
Vous savez par qui est rémunéré Dante ? Il fait comme on a dit en réunion avec CC: « Faisons comme pour les appels à France Bleu ou le site ML, mettons plein de commentaires pro GF ».
à 23 h 52 min
@Jacques : Ce n’était pas une info ? Alors pourquoi en avoir finalement parlé ? Au moins Montpellier plus n’en a pas du tout parlé. Ça a le mérite d’une certaine cohérence qui, bien sûr, trouve sa limite quand on sait que le gratuit rapporte régulièrement des propos qui me paraissent avoir moins d’intérêt. En quoi je ne respecte pas la déontologie du métier ?
@Basile : Vous semblez oublier qu’il y a d’autres informations dans l’article. Ce n’est pas parce qu’un point de vue n’est pas démontrable qu’un journaliste ne doit pas en faire état. En revanche, l’honnêteté commande de préciser qu’elle n’est pas, aujourd’hui, prouvable. A noter quand même que je donne un certain nombre d’éléments permettant d’étayer ces deux hypothèses. Au lecteur de se faire sa propre idée basée, notamment, sur d’autres informations. En attendant mieux.
@bonsens34 : Votre remarque est très intéressante. J’y reviendrai dans un prochain article. Ceci dit, si vous êtes donateur, vous savez que j’ai, par exemple, communiqué le nombre de personnes à la manifestation des facs de cet après-midi, sur Twitter dès 16h. Par ailleurs, Montpellier journal n’est pas une alternative aux médias dominants ne serait-ce que parce qu’il ne dispose pas, pour l’instant, des mêmes moyens. C’est pour ça qu’il faut se battre pour que ceux-ci s’améliorent. En attendant, je les lis, les écoute et les regarde et j’engage le plus grand nombre de citoyens à faire de même.
@Dante : Je ne suis pas sûr que « tout le monde s’en tape », en particulier à la région où, d’après ce qu’on m’a dit, on se serait bien passé de cet épisode de début de campagne. Par ailleurs, je n’ai jamais revendiqué une quelconque objectivité pour la simple raison que je pense qu’elle n’existe pas. Une information honnête, en revanche oui.
à 7 h 59 min
incroyable traitement par midi libre de l’affaire de l’expéditeur de balles 9 mm. hier le quotidien publiait, photo, nom et profession d’un suspect interpellé à montpellier. ce matin il est relâché sans qu’aucune charge ne soit retenue contre lui. comment se fait-il que midi libre ait pu ainsi jeter le doute sur cet homme ? pourquoi les flics l’ont-ils jeté en patûre aux médias. pourquoi midi libre, n’a pas observé plus de prudence ?
à 9 h 23 min
Eh oui, je dois bien avouer que je l’attendais un peu celle-ci. Ceci dit, Midi Libre n’est pas le seul en cause. Je me demande si La Gazette n’a pas retiré de son site le papier titré : « Menaces de mort aux élus : un homme interpellé à Montpellier » et qui portait l’identifiant 526 selon mes flux RSS.
Je recommande aux lecteurs intéressés par les relations journaliste-police-justice la lecture des tomes 2 et 3 du roman Millenium de Stieg Larson (Actes sud).
à 10 h 39 min
Frêche et les agriculteurs.
Selon Frêche, « aujourd’hui avec 5 % d’agriculteurs en France, on produit autant qu’avec 40 % en 1945 et avec 2 % on produira aussi bien qu’avec les 5 % actuels, donc on peut encore en perdre les trois cinquièmes.”
Le raisonnement est plus que simpliste pour plusieurs bonnes raisons :
- compte tenu de l’augmentation de la population mondiale, il ne faudra pas produire autant qu’avant mais plus, beaucoup plus.
- il faudra produire plus mais aussi mieux pour des questions environnementales et de santé humaine. L’agriculture hyperproductiviste avec de moins en moins d’agriculteurs a montré ses limites. La société est de plus en plus demandeuse d’une agriculture de proximité et de qualité.
- l’agriculture a beaucoup d’autres fonctions que la « simple » production agricole, notamment dans les zones péri-urbaines : qualité paysagère et donc du cadre de vie, lutte contre les risques naturels (inondations, incendie), maintien de la biodiversité, etc. Si les agriculteurs ne représentent qu’une petite partie en terme d’emplois, ils gèrent encore la majorité de l’espace géographique.
Selon Frêche, on peut encore se permettre de perdre encore les 3/5 des agriculteurs. J’imagine ce que ça donnerait en LR !!!
Il dit aussi qu’il faut miser sur les chercheurs plutôt que sur les agriculteurs. Il se trouve qu’on a la chance d’avoir sur Montpellier un pôle de niveau mondial dans la recherche agronomique et il ferait bien de temps en temps d’écouter un peu plus ces chercheurs, histoire d’arrêter de dire des conneries aussi simplistes qui se répandent ensuite dans l’esprit de ses étudiants et de ses électeurs. Il faut et il faudra toujours des chercheurs ET des agriculteurs.
à 10 h 55 min
@Dante je me tape de la vidéo de la grande salle, c’est de la pub pour qui ? par contre le personnel du zoo a grogné lors de la visite de Mme le Maire selon l ‘Agglo-rieuse ,rien dans ML pourquoi ? les problèmes sociaux à la mairie de Montpellier c’est tabou.
à 11 h 02 min
Frêche a bien raison, c’est un très bon constat ces propos. Le peuple est vraiment con, sinon TF1 n’existerait pas avec leurs émissions pour demeurés.
à 14 h 40 min
Bonjour Jacques-Oliver,
La Gazette de Montpellier n’a pas retiré de papier de son site intitulé “Menaces de mort aux élus : un homme interpellé à Montpellier” comme vous l’envisagez dans l’un de vos commentaires. Ce papier a été mis à jour suite à la libération de l’homme en question.
Cordialement.
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Clément Boulle
Journaliste et Rédacteur en chef du site internet
La Gazette de Montpellier
13, place de la Comédie
CS 39530
34 960 Montpellier cedex 2
http://www.lagazettedemontpellier.fr
+33 (0)6 70 09 29 78
+33 (0)4 67 06 77 77
PS : Malgré mes initiales, je tiens à préciser que je ne suis pas l’auteur du commentaire signé CB posté plus haut.
à 14 h 46 min
Sauf que le contenu du papier initial n’est plus consultable. Pourquoi ne pas avoir publié le nouveau développement dans un papier séparé ?
Il y a un usage sur Internet que je trouve souvent utile pour les lecteurs : identifier les modifications importantes.
à 14 h 55 min
Pour ne pas surcharger le site et notamment la page d’accueil de papiers sur le même sujet.
Cordialement.
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Clément Boulle