Le directeur régional de l’Agence pour la cohésion sociale et l’égalité des chances, Nouredine Boubaker a donné une interview à Midi Libre. Publiée ce matin, elle concerne l’étude sur l’égalité de traitement dans l’accès au logement social dont a fait état Montpellier journal fin mars. Depuis, nous avions toujours remis à plus tard la publication de l’intégralité de l’étude sur les discriminations dans l’accès au logement social qui est restée dans les tiroirs de l’Acsé. Cette actualité nous donne l’occasion de la publier.
Dans un entretien paru ce matin dans l’édition sétoise de Midi Libre, Nouredine Boubaker, directeur régional de l’agence pour la cohésion sociale et l’égalité des chances (Acsé) parle enfin. L’étude sur la discrimination dans l’accès au logement social, terminée en novembre 2007, a été rendue publique en février 2008. Montpellier journal en a déjà parlé. Du côté des autres médias, c’était silence radio.
« Une gestion ethnique du logement social… »
Ce n’est donc que 3 mois après la sortie officielle de l’étude que Nouredine Boubaker et Midi Libre finissent par aborder le sujet dans une interview titrée « Une gestion ethnique du logement social… » Certes les propos sont bien plus feutrés que ceux du sociologue Olivier Noël que Montpellier journal a interrogé sur le sujet. Mais le directeur de l’Acsé parvient quand même à dire : « Et puis, concernant la population maghrebine, on a remarqué que, quelles que soient les ressources et la qualité du dossier, on lui attribue un logement dans les secteurs les plus dégradés. Pour les agents, qui croient bien faire, on ne peut pas mettre un Maghrebin qu’avec des Français. On leur a démontré qu’ils entretenaient là des stéréotypes, que leur processus d’attribution ne permet pas la mixité sociale, la mobilité. Cela a marqué les agents mais ils ont su faire leur autocritique. »
Montpellier journal en profite pour faciliter la circulation de l’information sur le sujet. Après avoir publié la synthèse de l’étude, nous publions cette dernière dans son intégralité. C’est Olivier Noël qui nous a permis de nous la procurer. « Vous pouvez même dire que c’est moi qui vous l’ai donnée », déclare le sociologue qui l’a, lui même, récupérée par la bande. Explication : « Il y a plein de gens, y compris dans les cabinets de consultants, au sein de l’Acsé, qui en ont ras le bol c’est-à-dire qu’ils ont l’impression de servir à rien. » Et donc qui font passer, aux chercheurs, les documents qui ne sont pas rendus publics. Pour Olivier Noël : « Dès lors qu’on produit des rapports qu’on ne rend pas publics, d’une certaine manière on coproduit la discrimination au sens où on stabilise les systèmes. » (Mj, 9/04)
« Aucun nom arabe sur ces boîtes à lettre »
Sur l’étude elle-même, nous recommandons particulièrement la lecture de la petite histoire utilisée comme exergue en page 2 :
« Visite guidée du parc. Arrêt devant un immeuble cossu du centre ville propriété de l’organisme HLM. Visite d’un logement. Arrêt dans le hall devant les boîtes à lettres. Échanges entre l’enquêteur [de l'étude] et le professionnel [du logement social] :
L’enquêteur : C’est vraiment du grand standing…
Le professionnel : Oui c’est une réussite.
L’enquêteur : Il est possible d’arriver à cela en matière de logement social… C’est superbe… Revenons à notre sujet… Je parie qu’il n’y a aucun nom arabe sur ces boîtes à lettre…
Le professionnel : Ah non, ça il n’y a pas ici. »
Ou encore les pages 34, 38, 39, 45, 46, 47, 50 et 51. Ce sont elles qui nous paraissent apporter le plus d’informations complémentaires par rapport à la synthèse. Elles contiennent notamment des extraits d’entretiens menés par les enquêteurs auprès des professionnels.
►Lire le rapport final de la « Mission d’étude sur la promotion de l’égalité de traitement dans l’accès au logement social » (78 pages – 5,4 Mo).
► Et si vous souteniez, même modestement,
Montpellier journal ?
13 commentaire(s)
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à 23 h 27 min
Vous avez dit « mixité sociale » ? Vous mesurez vraiment ce que cela signifie au quotidien ?
J’ai eu l’occasion d’occuper un logement, dont mes voisins étaient fraichement débarqués de l’autre côté de la Grande Bleue. Pendant plusieurs jours, nuit et jour, on entendait qu’on tirait sans arrêt la chasse d’eau. Je suis allé voir ces gens pour leur demander pourquoi ils agissaient ainsi ? Ils m’ont amené dans la salle de bains. Dans la baignoire il y avait une petite chèvre et pour qu’elle ne se sauve pas, on l’a attaché à la corde de la chasse d’eau…
Alros, s’il vous plaît, réfléchissez avant de prôner la mixité sociale…
à 9 h 16 min
Merci pour ces info, JOT, qui confirment ce qu’on pouvait constater, et merci à ceux qui les ont rendues accessibles.
Anonyme de 23:27, je ne sais par quel bout commencer à vous répondre tant il y a à dire, alors je vous suggère simplement d’aller lire cet article (et de suivre les liens qu’il donne) :
http://www.celestissima.org/xenophobie-2/
Alors, s’il vous plaît, prenez du recul et réfléchissez avant de reproduire des propos qui ont mené à de si nombreuses tragédies humaines, ici et ailleurs
à 10 h 11 min
à ko :
Croyez-moi, je sais de quoi je parle, pour avoir été (dans ma jeunesse) à l’autre côté de la barrière. Il y a de cela cinquante ans, quand je suis arrivé en France comme réfugié politique, je me suis fait tout petit pour qu’on ne me remarque pas, pour me fondre dans la masse. Jamais je n’ai manifesté, ni revendiqué quelque chose. Pourtant, j’ai subi ce que subissent les sans-papiers aujourd’hui. « Voulez-vous un titre de séjour ? Si vous avez un travail, on vous le délivre tout de suite. » Vous voulez que je vous embauche ? Si vous avez des papiers en règle, pas de problème. »
- Suis-je xénophobe parce que je proclame haut et fort qu’un étranger qui vient en France doit tout faire (même en gommant ses habitudes ancestrales) pour s’intégrer ?
Je ne souhaite pas polémiquer sur cette question, car nous aurons une discussion stérile qui n’en finira jamais, mais je me permets de rappeler à tous ceux qui militent pour la « bonne » cause, qu’il est facile de prendre leurs malheurs sur votre coeur, mais il est très difficile, voire impossible, de les prendre sur vos épaules. À propos, connaissez-vous un militant qui a laissé son logement pour qu’un sans-papier et sa famille s’installent à sa place, ou un autre qui a donné sa démission pour qu’un étranger puisse prendre son travai
à 12 h 20 min
Ce genre de rapport ne nous apprend pas grand chose de plus hélas, ce n’est qu’un etat des lieux de plus parmis tant d’autre. Ce qui me parrait etonnant c’est que le directeur regional de l’Acsé (anciennement FASILD), sort enfin de sa reserve, quand on sait qu’il n’a jamais voulu financier des associations qui se battent de facon exemplaire sur ces questions, notament l’association « Justice Pour Le Petit Bard », préférant ainsi, financier gracieusement ,des structures comme celle de son petit protégé olivier Noel et sa clique de soit disant » sociologue » à travers la machine financiere s’appel « L’ISCRA », ce sont des chercheurs qui ont comme « labo » d’étude,les quartiers populaires, si encore le fruit de leurs recherches avaient fait avancés les choses depuis tout ce temps,ca se saurait et on aurait pas eu a se tapé de tels enquetes pour nous démontré une realité que tout un chacun en france connais depuis bien trop longtemps. Comme si dans les quartiers, les habitants ou leur expression caractérisée, n’etaient pas assez capable de reflechir par eux meme a leurs devenir. Mais de l autre coté je peut quand meme comprendre que des structures comme l’Acsé de Mr Boubaker, dependent de l’etat et que ce n’est pas facile pour eux de financer des associtions intègres et radiacal dans leurs actions, pour faire avancé leurs revendication, ca passe mieux quand on met le paquet sur des structures « hors sol » d’intellos en manque de réalités, a travers des debats et autres tables rondes, avec un public a grande majorités « bobo ». Je ne fait aucun procés personel a quiquonque dans mon commentaire a part peut etre et je le reconnais, a ceux qui ont comme « garde mangé » la misère des gens dans les quartiers, sans se préaucupé de ce que peuvent representer en terme de propositions et de solutions, les habitants de ses meme quartiers, se sentira visé qui veut .
Il y a aujourdui une formidable « industrialisation de la misere » dans les quartiers en france, qui fait « mangé » pas mal de monde , sauf en majorité les habitants de ses quartiers, on retombe tres souvent dans ce milieu, dans de vieux travers « bien français » du temps d’une certaine époque coloniale, mais cette fois-ci relayé par des soit disant humanistes ou autres chasseurs de primes, sous couvert de « sociologie ».
Laissez nous tranquile avec vos enquetes qui ne font pas avancé grand chose et prenez vous en un peu plus, aux décideurs locaux.
l’égalité de traitement ne doit pas etre un thème pour se faire plaisir, mais une exigeance que l’on doit faire appliqué.
à 18 h 15 min
Je n’ai pas l’habitude de réagir aux accusations gratuites et provocatrices qui se cachent courageusement derrière l’anonymat mais je ne voudrais pas que les ragots véhiculés par ce message puissent trouver un quelconque écho car ils mettent gravement en cause le travail de l’ISCRA, son intégrité, et salissent le travail de ceux et celles qui, bénévolement ou professionnellement, y agissent ou encore la mémoire de ceux qui se sont engagés dans son projet depuis 1996.
La première accusation porte sur les importants financements que l’ISCRA est supposé recevoir de la direction régionale de l’ACSE par l’intermédiaire de son directeur, Monsieur Nourredine Boubaker. L’ISCRA existe depuis 1996 et n’a eu de cesse depuis sa création de mettre au jour les processus discriminatoires qui gangrènent notre société dans le champ de l’emploi, du logement, de l’école, des pratiques policières (comme en attestent l’intégralité de ses travaux mis en ligne gratuitement sur son site http://www.iscra.org) et ce le plus souvent sans aucun financement et sur le seul investissement militant de ses membres. L’ISCRA organise depuis 2000 des Univers-Cité des Savoirs Impliqués pour rendre public ses travaux et ceux d’autres chercheurs afin de rendre visible les processus insidieux qui empêchent tout projet égalitaire dans notre société. Et ces Univers-Cité des Savoirs Impliqués ont effectivement été financées par l’ACSE en 2004, 2005, 2006 et 2007 à hauteur de 7000-8000 euros par an. Ce qui a considérablement enrichi l’ISCRA pour organiser 4 à 6 rencontres par an réunissant en moyenne 80 personnes et jusqu’à 200 certaines fois (et les « bobos » militants, étudiants, syndicalistes, y participant, apprécieront). En 2008 et en 2009, l’ISCRA n’a demandé aucune subvention à l’ACSE pour – précisément – préserver son indépendance intellectuelle et sa liberté de ton dans l’espace public montpelliérain. Depuis, nos rencontres publiques ont continué à accueillir des chercheurs comme Saïd Bouamama ou encore Marc Bernardot (et avant eux Pascal Blanchard, Nicolas Bancel) qui sont bien connus pour leurs orientations intellectuelles pro-colonialistes… et les participants toujours y ont été toujours aussi nombreux (même si les quémandeurs de subvention avaient disparu entre-temps) !
La deuxième accusation met en cause la qualité intellectuelle des personnes engagées dans le projet de l’ISCRA que vous qualifiez de « soit-disant sociologues ». Toutes ont suivi des études de 3ème cycle et des doctorats dans leur discipline comme juristes, psychologues, historiens, sociologues et sauf à remettre en cause les institutions du savoir légitime (Université, CNRS, INED, CNAM etc…) comme cela s’est fait dans le temps dans les dictatures de droite comme dans les dictatures communistes. Si tel est votre point de vue de « militante », le populisme sarkozyste rampant et prompt à critiquer les chercheurs a résolument de beaux jours devant lui.
La troisième accusation porte sur les objets d’étude de l’ISCRA qui produirait une sociologie coloniale des « indigènes ». Vous ne connaissez vraiment rien du travail de l’ISCRA car notre travail est, tout au contraire, une lente déconstruction des responsabilités politiques, institutionnelles et professionnelles qui produisent et reproduisent les systèmes discriminatoires. Et nous ne manquons de critiquer les gouvernements de droite comme de gauche car notre seule ligne de conduite est un savoir militant qui cherche à produire du changement social. Nous n’hésitons pas à critiquer les institutions comme l’ACSE, les ministères, les ministres en exercice, et même le président de la République. Toutes nos positions sont publiquement affirmées et signées sur notre site (conférences, émissions radios, films, articles, ouvrages). Et nous ne nous cachons pas derrière l’anonymat.
Le seul point sur lequel je suis d’accord avec vous c’est le fait que les associations de terrain, les plus radicales, devraient être plus soutenues car le point de vue de ceux qui vivent dans les quartiers est tout aussi important que celui des spécialistes des sociales et humaines qui peuvent les aider à décoder le monde et à le changer. Les acteurs de terrain, parmi les plus radicaux, qui l’ont compris à Villeurbanne, à Toulouse, à La Ciotat, à Sarcelles, au Blanc-Mesnil ont fait avancer avec l’ISCRA la question de l’égalité de traitement et de la lutte contre les discriminations, mais ils ne se sont pas contentés des ragots des caniveaux montpelliérains.
Sans doute avez-vous eu raison de garder l’anonymat pour dire de telles âneries. Mais vous êtes quand même la bienvenue à la prochaine Univers-Cité des Savoirs Impliqués. La démocratie se construit dans la confrontation.
Olivier NOEL
à 10 h 12 min
je comprend tout a fait ce que veut dire de facon generale « militante », pour les universitaires, qu ils arrettent de « s ‘ampifré » sur le dos des classes populaires en l’es prenant pour des souries de laboratoire, ils sont assez capable pour parler eux meme de ceux qu ils vivent !!!!
à 20 h 16 min
Je réagis à la lecture du message de « militante ». Même si je ne connais pas l’action de l’association « Justice pour le petit bard », je veux bien croire qu’il s’agit d’une association exemplaire, sans en avoir aucune preuve. Si je voulais me faire un avis sur cette association, je rencontrerai son équipe pour me faire ma propre opinion. Car vous avez raison sur un point, il y a à boire et à manger dans ce monde associatif et on peut parfois se demander pourquoi telle ou telle structure bénéficie de subventions des politiques publiques, cela paraît injuste parfois quand on connaît la médiocrité de leur travail ou de leur système de valeurs, d’éthique et de déontologie. La lecture de votre message m’a simplement appris que vous ne connaissez pas le travail mené par l’ISCRA et surtout que vous n’êtes pas en mesure de comprendre la nécessité et l’urgence d’agir collectivement contre les discriminations. Aucune structure ne pourra faire avancer ce sujet seule, qu’est ce que vous croyez ? Que les associations vont pouvoir faire changer les choses ? Comme vous le dites si bien, « ca se saurait »….. Depuis, 8 ans je mets en œuvre des actions de lutte contre les discriminations. Heureusement que sur ma route, il y a eu l’ISCRA, car leurs travaux nous ont permis de mieux comprendre la complexité de ce phénomène et le rôle des intermédiaires de l’emploi pour mettre en œuvre des actions, innovantes à l’époque, dans nombre de projets qui ont eu une résonnance nationale. La lutte contre les discriminations est suffisamment grave pour arrêter de se regarder le nombril en étant persuadé que « le vrai Zorro des pauvres c’est moi». Il faudra s’unir avec toutes les bonnes volontés du monde associatif, politique, institutionnel, scientifique, culturel et artistique. Pour ma part, je pense que l’action conjointe des acteurs du champ associatif avec les chercheurs « engagés » (ceux qui s’impliquent sur le terrain, en ne se contentant pas de nous observer comme des animaux sociologiques ou, plus grave, en produisant des enquêtes totalement à côté du sujet, qui peuvent faire reculer les petites avancées), constitue une véritable opportunité pour faire avancer certaines problématiques ultra sensibles comme la discrimination. L’ISCRA participe à des actions concrètes sur le terrain dans toute la France, sans jamais se placer « au dessus » des acteurs associatifs, car cet institut prône une approche collective en ouvrant des espaces pour que le savoir et l’expertise des acteurs de terrain se confrontent au savoir « universitaire », d’égal à égal, et ce, pour faire « changer les choses ». Alors, je vous conseille vivement de répondre à l’invitation de l’ISCRA et à assister à l’une de leurs universités des savoirs impliqués pour les connaître et, j’en suis certaine, vous changerez d’avis sur cet institut.
à 22 h 47 min
MIXITE SOCIALE ???
Le jour ou dans le quartier de l’aiguelongue ou vivent messieurs G Freche A Vezinhet F Delacroix et tout le gratin montpellierain il y aura des logements sociaux habités Par des MAGHREBIENS des GITANS DES HARKIS DES BLACKS et autres alors nous pourrons parler de mixité sociale;
Pour l’instant c’est le ghetto des gotahs dans le quartier de l’Aiguelongue et du quartier MERIC
à 14 h 53 min
JR a raison ,là ou M.Fréche a fait sa piscine alors que c’était interdit, il serait intéressant de savoir le coût du nettoyage par an de la rue Roqueturiére et preuve qu’ils sont chez eux ,dans rue Antoine Jussieux la place dans leur villas ne suffisant pas, on se fait aménager dans la rue des places de parking, malgré que cela géne la ciculation (croisement des vehicules).
à 13 h 58 min
Maryline SAHNOUNI:
Déja tu a l’air de bien défendre ton « biftek » toi aussi, dans mon pécedent commentaire, quand je faisai référence à l’exemplarité en citan l’association « justice pour le petit bard », c’est concernant la lutte de cette association et non pas l’association elle meme, et crois moi cette association se moque éperdument de ton avis à leurs sujet, sinon toi et tes copains auriez pu etre pres d’ eux dans leurs combat. ensuite quand tu dit : « La lutte contre les discriminations est suffisamment grave pour arrêter de se regarder le nombril en étant persuadé que « le vrai Zorro des pauvres c’est moi», déja je n’est jamais dit ça pour commencer et ensuite je ne pense pas avoir besoin de recevoir de leçon de ta part, mes critiques en vers L’ISCRA, sont pour moi révélatrices d une certaine logique de la part de certains chercheurs et ceux au niveaux national et depasse completement ta bien aimée ISCRA, c’est juste un exemple local, mais à force de remettre l’ISCRA sur le tapis, je me demande qui se regarde « le nombril » la dedans.
concernant mon envie de repondre « vivement » à l’invitation de L’ Iscra concernant leurs universités machins…, non merci, je laisse ça au gens comme toi et autres, car on ne m’enlevera pas de la tete, que derrieres les « recherches » sur les luttes contre les discriminations se cache aussi la recherche de « primes » de « subs » de la part de certains petits malins aux idées et aux pratiques, souvent trop paternaliste a mon gout.
en tout cas , je vois que mon précédent commentaire a fais des remous dans un certain milieu ( bien universitaire) bien sur.
Je repète encore une fois , » nous ne sommes pas des petites souries » et quand bien meme, seule une petite sourie aurait pu nous comprendre si ca aurait été le cas, et non un scientifique.
à 18 h 00 min
BRAVO JO TEYSSIER
Une fois de plus JOT est le premier (13h00) à dégainer cette information à savoir la candidature dU SOCIALISTE Eric ANDRIEU contre Georges FRECHE aux élections Régionales
Midi libre lui a aussitot emboité le pas avec une dépêche qui est tombée à 17 h00
La Gazette est frapée de mutismer comme tétanisée par le résultat des Européennes.
Et notre septimanien G FRECHE COMMENCE A SE FAIRE DU SOUCI pour son avenir politique, il évoque de plus en plus un successeur possible (pour des raisons de santé et aussi parce qu’il n’est plus l’homme politique de gauche à meme d incarner le rassemblement)
Sans rancune et aucun regret seraisje tenté d’écrire en ce qui concerne cet autocrate et récidiviste de la haine verbale
Dommage que l’on ne puisse pas apporter des commentaitres directement sur le sujet en question
Allez J.O TEYSSIERLAISSEZ NOUS DELIVRER NOS POINTS DE VUE
ET merci
à 20 h 37 min
Chère militante,
Vous semblez très courageuse mais à point de vous exprimer sous votre véritable identité, dommage…
Continuing the Discussion