C’est fini. Dans une indifférence médiatique quasi générale, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Montpellier a rejeté, courant mai, la demande d’instruction complémentaire suite à la plainte déposée en décembre 2001 par des copropriétaires et des locataires du Petit-Bard. Elle visait les syndics successifs et certains membres du conseil syndical pour les chefs d’abus
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