La candidature de Georges Frêche à sa propre succession divise élus, militants et partenaires potentiels du PS. Et quelle que soit l’issue du vote du 1er octobre, les morceaux risquent, ensuite, d’être difficiles à recoller.
Respect des militants et des statuts. C’est la règle pour justifier le silence de la direction nationale du PS sur les primaires
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