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Le Mardi 20 octobre 2009 à 12:36

ACM épinglé par la Miilos


Midi Libre révèle ce matin le contenu d’un rapport sur l’attribution des logements sociaux dans l’agglomération de Montpellier.

[Màj le 25/11 : l'intégralité du rapport a été publiée par Montpellier journal, lire ici]

Le quotidien rapporte notamment cette phrase de la Mission interministérielle d’inspection du logement social concernant ACM, le bailleur social de l’agglomération de Montpellier : « Le fonctionnement actuel de la commission d’attribution des logements doit être amélioré, notamment afin de garantir sa souveraineté et d’assurer l’objectivité indispensable des choix réalisés. Ses décisions sont insuffisamment motivées. » Le rapport doit être présenté en Conseil d’administration d’ACM jeudi. Ne doutons pas qu’il sera, ensuite, rendu public.

Lire sur le site de Midi Libre : « ACM doit revoir son attribution des logements », un papier signé Guy Trubuil.

►Lire aussi :


Publié dans Brèves, Politique. Mots clés : , , , .

12 commentaire(s)

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  1. PDJ-PDP said
    on 21 octobre 2009

    à 12 h 28 min

    Nous assistons encore aujourdui a travers cette enquete de la MILOS, qui d’apres moi ne révèle rien d’inconnu dans ls pratiques d’ACM.
    La discrimination, le clientélisme,le non respect des surs-loyers de fonctionnaires logent au frais de la princesse,de petites magouilles en tous genre….
    Mais paradoxalement, rien ne bouge chez ACM-OPAC, en 2004 aussi une enquete de cette MILOS, avait relevé maintes anomalies, rien a changé depuis.
    Cette fameuse CAL, aussi « souveraine » soit elle, comment se fait il qu aucun organe representant la société civile n’y siège, car la neutralité n’est pas la bienvenu en son seins.
    Le système d’attribution de logement a Montpellier, a ainsi été pensé par G.FRECHE et son « porte flingue » Vallat, de la sorte, afin de garantir une longue prosperité éléctorale, (28 ans Maire de Montpellier), « pourquoi changé une équipe qui gagne » la démonstration est faite avec sa femme a la tete d’ACM et Pouget un de ses fidèles lieutenant, qui immite le maitre jusque dans sa façon de parlé.
    « Pauvre Petite famille attendant son logement social depuis plus de de 6 ans (en moyenne ), a quand ?, un rapport, ou une enquete, pourra essuyé tout les affronts et anomalies que vous subissé depuis trop longtemps, en rétablissant la justice dont ont vous privent ??? ».

  2. kamel said
    on 21 octobre 2009

    à 13 h 36 min

    section socialiste OPAC/ACM
    Savez vous qu’u'il existe une section socialiste au sein même de l ‘OPAC ACM ce qui n’est pas peu dire sur les pratiques clientélistes.
    Les passe droit le piston selon que vous soyez encatés ou pas au parti socialiste

  3. @kamel : cette section n’est pas secrète. Et ce que vous avancez n’est pas prouvé.

  4. @PDJ-PDP : deux associations de locataires siègent en commission d’attribution : la CLCV et la CNL.

  5. loulou said
    on 21 octobre 2009

    à 21 h 35 min

    @ JO teyssier : concernant la cité Gély, comment expliquez vous que des personnes ont les clés comme ça, sans que ça passe en commission d’attribution, des personnes des ACM leur donnes les clés directement, ce n’est pas la com de l’attribution qui gère apparament ces « blocs », il y a beaucoup de pistons par là bas, je connais quelqu’un qui y habite et c’est comme ça qu’il l’a eu. il est allé voir un des agents qui occupe un local ACM au pied de la cité, il a demandé un appartement pour son fils, un mois plus tard, lors de la libération d’un des appartements, il a eu les clés comme ça, sans faire de demande ni rien, quand il en parle, il dit ouvertement « moi, ils me connaissent là bas », donc, il y a un problème non????

  6. Sapientia said
    on 22 octobre 2009

    à 8 h 31 min

    Sans faire d’angélisme, je trouve qu’il est un peu facile de tirer à vue sur ACM par le biais des commentaires du genre « le type qui connait la frangine de la boulangère qui a eu un appart ACM par le fils du neveu du gars de l’auto école »
    Dans le microcosme Montpelliérain, on brille vite en société en faisant croire qu’on a du piston chez ACM, chez certaines personnes il s’agit d’un signe de reconnaissance sociale. Du coup, il faut faire très attention à la manière dont on retranscrit ce genre de propos, ils sont socialement néfastes et même assez dangereux pour les simples agents ACM qui devront affronter demain divers reproches de la population, alors même qu’ils n’ont aucun rapport avec les procédures d’attribution.

    Bref typiquement le type de sujet, qui, même quand ils sont excellemment traités peuvent vite générer un dérapage de commentaires qui n’apporteront rien au débat.

    Pour info, dans le cadre de la commission de médiation de la loi DALO (droit logement opposable), on considère qu’un délai d’attente est anormalement long après 36 mois d’inscription ininterrompue… On est très loin des 6 mois de moyenne évoqués précédemment par PDJ-PDP. Ca fait réfléchir non?

  7. @Sapientia : PDJ-PDP n’a pas palé de 6 mois mais de 6 ans.

  8. PDJ-PDP said
    on 22 octobre 2009

    à 9 h 55 min

    JOT: la CLCV C’est simple, c’est le « PS », et la CNL c est les cocos, vous avez déja vu les cocos « PC » s’opposé a la majorité municipale (craché dans la soupe ) ??
    La CLCV , ils sont gentilles mais voila, c est pareil ces deux organisations ne sont pas assez neutre a mon avis, sinon depuis le temps qu’ils y siègent, ça n’aurais pas été à la MILOS, de pointé toutes ces irrégularités depuis tout ce temps, mais justement a ces Associations de Locataires qui ne représente uniquement et servent le pouvoir en se taisant.

  9. Sapientia said
    on 22 octobre 2009

    à 11 h 33 min

    Oups, va falloir que je m’achète des lunettes.

    Dans ce cas de figure, au delà de 36 mois, les personnes doivent saisir la commission de médiation DALO pour obtenir un relogement. A près passage en commission, le Préfet a 6 mois pour proposer un relogement.

    Il faut utiliser les dispositifs qui existent. ACM y siège et représente les bailleurs sociaux, et croyez moi, ils prennent leur part de relogement.

    Le problème en matière de logement social c’est que, particulièrement dans notre région, nous avons un véritable déficit d’offre. La loi SRU qui fixe le quota de logements HLM (20%) dans les villes et villages d’agglo au delà d’un certain seuil, « épargne » les villages environnants « hors seuil », du coup, à part quelques villages volontaires toutes les constructions se concentrent dans la même zone, ce qui crée une pression foncière importante qui ne permet pas de rattraper notre retard, faute de terrains disponibles.

    En matière de programmation, les crédits délégués à la construction ne sont pas épuisés chaque année, faute de constructions suffisante. Il faudrait que certains élus locaux acceptent, bien que n’étant pas concernés par les 20%, de construire un peu sur leur commune.

    Malheureusement, on se retrouve dans le fameux NIMBY (not in my backyard), tout le monde s’accorde pour dire qu’il faut du logement social, mais pas chez moi (c’est le même problème avec les gares, les aéroports, les établissements sociaux…), dans certains cas de figure, il s’agit là d’un véritable manque de courage politique, implanter un tel équipement sur un lieu d’habitation nécessite de convaincre la population, quitte à ce que cela soit impopulaire.

    Du coup, le marché est plus que tendu et l’offre inférieure à la demande conjuguée à la crise sociale et économique et les faibles taux de rotation, génère des délais d’attente inhumains.

    Un autre problème découle du montant des loyers demandés aux locataires. Les « aides à la pierre » qui financent le logement social varient. Le PLAI par exemple, apporte une subvention importante et permet donc de réduire les montants des loyers, ce qui permet de loger des personnes à très faibles revenus, y compris les minimas sociaux. D’autres aides sont moins importantes et imposent des loyers plus élevés qui obèrent la possibilité aux faibles revenus d’y accéder.
    La difficulté qui en découle est que les opération en PLAI sont très difficilement équilibrables financièrement, le coût d’acquisition du terrain, par exemple, aux prix Montpelliérain, rendant parfois impossible certaines programmations…

    Bref, que des élus locaux s’engagent et qu’ils arrêtent de se cacher derrière la loi SRU pour nous raconter qu’ils ne sont pas obligés de faire du logement social, depuis quand loger les personnes défavorisées devrait être soumis à une injonction?

    Désolé JOT, j’ai largement dépassé le cadre de l’article!

  10. Olivier34 said
    on 22 octobre 2009

    à 12 h 00 min

    @ Kamel. La section PS d’ACM n’est certes pas la section la plus dynamique de l’Hérault. Ceci étant elle existe et elle est statutaire. C’est ce que l’on appelle une section d’entreprise. IL en existe une 2e sur Montpellier, celle du CHU.

  11. Anonyme said
    on 23 octobre 2009

    à 11 h 32 min

    Que la CLCV soit localement un satellite du PS, y’a pas de doute. Plus béni oui oui tu meurs ! Que la CNL soit aux ordres, ça reste à prouver. Les faits sont par contre parlants : la CNL a participé à la bataille de la rue des Troles avec beaucoup d’autres contre la Mairie de Mtp. A la tour d’Assas, c’est elle qui est à la pointe du combat contre ACM.

  12. Le commentaire anonyme du 23/10 à 11h59 a été supprimé car il présentait un caractère diffamatoire. Ceci dit, l’auteur y faisait référence à « une production écrite en préparation » dont Montpellier journal souhaiterait être destinataire quand elle sera terminée.