Le site d’information est en passe de prouver qu’on peut descendre de Paris pour enquêter sur le Languedoc-Roussillon et aller au fond des choses.
Dans le premier volet – « Georges Frêche, le journaliste, l’éditeur et le témoin de moralité » – d’une série de quatre articles, il est notamment question de Pierre Serre, patron de La Gazette et plus généralement des pressions sur les médias, de Gilles Cohen-Solal, éditeur de Georges Frêche et de Hussein Bourgi. Mathilde Mathieu, la journaliste, rappelle notamment une déclaration du président du Collectif contre l’homophobie lors de son témoignage au procès des « sous-hommes » : « En 1995, un Centre gay et lesbien avait ouvert à Montpellier, qui touchait plus de subventions que celui de Paris… »
► Lire aussi :
- Georges Frêche, le journaliste, l’éditeur et le témoin de moralité (1/4, Mediapart, sur abonnement, 15 jours de tests gratuits)
- Le prétendant à la succession de Frêche, le docteur en politique et l’homme qui dit non (2/4, Mediapart)
- Le serviteur de Frêche qui doute, le chef de section et le militant écoeuré (3/4, Mediapart)
- Frêche ou la rénovation: balle au centre après les régionales (4/4, Mediapart)
- Le patron de La Gazette fait retirer une info sur la santé de Georges Frêche
- Sauramps et Georges Frêche : petits arrangements entre amis ?
- Le Collectif contre l’homophobie réprouve la « lopette » de Frêche sur Rocard
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Un commentaire
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à 22 h 19 min
Le problème de Frêche (et le nôtre depuis 30 ans…) est psychologique, c’est un pervers narcissique qui fascine, soumet puis humilie ses proies, d’où ce qu’il appelle des trahisons, qui sont en fait des libérations.
Voyez le portrait en détail de ce type de personnalité sur ce site http://sarkostique.xooit.fr/t3333-Le-pervers-narcissique.htm
mais il y en a bien d’autres et voilà pourquoi GF se sent des affinités avec Sarkozy
Situations cliniques :
o Le déni
o La diffamation sans y toucher
o Frapper l´autre d´inexistence pour le mépriser et le déstabiliser : je ne regarde pas mon adversaire au cours d´un débat, je dis «elle» en regardant un témoin.
o La jouissance du sous-entendu : « Je dis tout haut ce que tout le monde pense tout bas». Ce qu´on pense tout bas, ce n´est en général pas très beau, et justement, on ne le dit pas. Ou «en France, on ne peut pas dire les choses» : par exemple, les nègres nous emmerdent, foutons les dehors…
o Provoquer la sidération et l´adhésion de l´entourage
o Etre mégalomane, ne pas supporter le moindre accro à sa propre image
o Enfance : venger une mère abandonnée
o Amour de la traîtrise : prendre des gens dans l’autre camp ICI c’est dans l’ UMP, la droite en général etc
http://bibifa.wordpress.com/pysco-socio/le-pervers-narcissique/
Le pervers narcissique a le talent de diffamer sans avoir l´air d’y toucher, prudemment, en donnant l´apparence de l´objectivité et du plus grand sérieux, comme s´il ne faisait que rapporter des paroles qui ne sont pas les siennes. Souvent il ne porte pas d´accusation claire, mais se contente d’allusions voilées, insidieuses. A la longue, il réussira à semer le doute, sans avoir jamais prononcé une phrase qui pourrait le faire tomber sous le coup d´une accusation de diffamation.