Le conseil a considéré que Solares avait abusivement licencié un de ses plus anciens salariés (30 ans d’ancienneté), « qu’il a été fait pression » sur lui pour qu’il démissionne et que le licenciement avait été « prononcé avec empressement ». Un jugement qui fait tâche pour celle qui est notamment vice-président de l’agglo de Montpellier et présidente du syndicat
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