Plusieurs CDD de personnes en contrats aidés ont été requalifiés en CDI par les prud’hommes en mars et juin mais certains de ces jugements n’ont pas été exécutés par l’administration. Quant aux indemnités de licenciement à verser aux 71 EVS/AVS qui ont attaqué l’Éducation nationale, elles représentent une somme rondelette. Et le ministère, dirigé par Vincent Peillon (PS), se tait. Comme sous le gouvernement UMP de François Fillon. Si « changement » il y a eu avec l’élection de François Hollande en mai, il n’est donc pas vraiment visible.
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