C’est à une foire d’empoigne à gauche à laquelle a donné lieu le vote sur la « nouvelle stratégie de développement économique » mardi en conseil d’agglo. Les désaccords ne sont évidemment pas liés au fond c’est-à-dire à la stratégie ou à la marque « Montpellier unlimited » mais plutôt à l’appartenance aux différents camps qui fracturent le parti socialiste montpelliérain depuis 2009, date à laquelle Hélène Mandroux, le maire de la ville, a commencé à s’opposer à Georges Frêche. Ces camps sont également en recomposition dans la perspective des municipales de 2014. Chaque argument peut donc être aisément renvoyé à celui qui l’avance et qui manque de mémoire. Démonstration.
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