Dans un dossier de presse pour le moins lacunaire, la préfecture de l’Hérault parle d’un « premier bilan encourageant » après la mise en place d’une Zone de sécurité prioritaire. Problème : la démonstration se base sur des chiffres qu’il suffit d’étudier de près pour se rendre compte qu’elle est au minimum bancale. S’agirait-il d’une opération de communication en faveur du ministre de l’Intérieur, Manuel Valls ? Si c’est le cas, c’est gagné. Grâce à la collaboration de plusieurs médias locaux.
Vous devez être abonné(e) pour lire la suite. Identifiez-vous ou Abonnez-vous pour lire cet article.
Il vous en coûtera seulement 6 € par mois !
Le seule ressource de Montpellier journal ? Les abonnements et les dons de ses lecteurs. Abonnez-vous pour soutenir l'indépendance du site.
► Lire aussi