Pas de comparution immédiate pour l’hebdomadaire délinquant installé sur la place de la Comédie. Il a fallu l’opiniâtreté de Michel Julier, militant de l’association Agir pour les paysages, pour que cesse le délit. Mais La Gazette a bénéficié d’un avantage direct ou indirect pendant plusieurs années qui se chiffre à des dizaines voire à des centaines de milliers d’euros. Avec la complicité – au minimum passive – des élus et des fonctionnaires de la ville.
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