L’ancien président de l’association dit avoir saisi le procureur pour « abus de confiance » et « présentation de comptes annuels inexacts ». Les dirigeants actuels reconnaissent une « erreur » et plaident la bonne foi. L’affaire met également en lumière le financement de sociétés privées sportives par des collectivités locales. Cela n’est pas forcément illégal
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